Dans un quartier déshérité de Sousse, en Tunisie, Moncef Kahloucha tourne sans moyens et sans scénario, des films d’action où il monopolise le premier rôle. Films de gangsters, remake pittoresque de Tarzan intitulé « Tarzan des arabes », tous les genres sont sollicités, au même titre que ses voisins et amis, leur maison et leur mobilier. Nejib Belkadhi leur rend hommage.